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CROP CIRCLES

(Synonymes : CC, agroglyphe, agrogramme, pictogramme)

Mots-Clés : agroglyphe, agrogramme, pictogramme, Angleterre, Wiltshire, Hampshire, radiesthésiste, boules lumineuses, champs, George Terence Meaden, vortex plasmatique ionisé, Pat Delgado, Colin Andrews, Douglas Bower, David Chorley, TORRO, CCCS

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Officiellement, le phénomène débute en 1980, dans le Wiltshire, avec la découverte, au milieu d'un champ de blé, d'une zone circulaire de 5 mètres de diamètre à l'intérieur de laquelle les tiges de blé sont couchées en spirale dans le sens des aiguilles d'une montre, à 3 cm au-dessus du sol. Puis une trentaine d'autres «ronds», de tailles variées, sont détectés ainsi que des «triplets» (cercle encadré par deux cercles satellites plus petits), des «quintuplets» (cercle d'une quinzaine de mètres de diamètre entouré de quatre cercles plus petits, égaux et équidistants), et des formations en "grapeshots" (tirs groupés): multiples cercles comme lancés du ciel en rafales.

Ces mystérieuses zones apparaissent généralement au beau milieu des champs (blé, seigle, orge, colza, avoine) où elles ne sont découvertes que lors du passage des moissonneuses. Les fermiers sont furieux: quels sont ces vandales qui osent saccager leurs récoltes? En dépit des récompenses promises par la NFU (Union nationale des fermiers) à qui parviendrait à les débusquer, jamais un «coupable» n'a été surpris en flagrant délit. Aucune hypothèse ne parvient à expliquer l'origine des crop circles -ou CC-, pas même celle de rotors d'hélicoptères en vol stationnaire à basse altitude au- dessus des champs ou d’adeptes du grand sabbat.

Une nouvelle catégorie de spécialistes s'improvise, les céréalogues. Ils inspectent, photographient, mesurent les cercles et, à grand renfort de publications et de conférences dressent les caractéristiques de ce phénomène déconcertant : la zone frontière du cercle est toujours délimitée d'une façon extrêmement nette, il n’y a pas d’empreintes de pas, ni d’instruments, ni de véhicules (seules sont visibles les anciennes ornières des tracteurs qui avaient répandu fertilisants ou pesticides), nul plant n’est arraché ; les tiges couchées, tordues, mais jamais abîmées continuent de pousser à l’horizontale, sans se redresser ; la spirale peut tout aussi bien tourner dans le sens des aiguilles d’une montre que dans le sens contraire ; dans certains cercles, deux mouvements spiralés se superposent ; les plantes sont parfois étroitement « tressées » entre elles… D’autre détails insolites se précisent.

Les animaux sont effrayés et refusent de s’aventurer à l’intérieur des CC, certaines personnes éprouvent des malaises, d'autres, un sentiment d'euphorie;  les boussoles s'y dérèglent, les radiesthésistes y captent de « forts courants énergétiques», les caméras et appareils sophistiqués souffrent de pannes inexplicables. Des sons étranges, de forts vrombissements déchirent la nuit, tandis que des boules lumineuses survolent les champs où l'on découvrira plus tard des cercles. De quoi intéresser les ufologues qui établissent un lien entre CC et ovnis.

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Une cause météorologique ?

Parmi les chercheurs, se distingue un scientifique, le Dr George Terence Meaden. Ce physicien anglais, météorologue, directeur d'un centre de recherche sur les tornades, les orages et la foudre en boule, se passionne pour les cc qu'il considère comme une manifestation de nature météorologique jusqu'alors non remarquée. C'est une opinion que tout le monde ne partage pas: le Wessex, région où prolifèrent les CC, et incessamment survolé depuis une cinquantaine d’années par des missions à la recherche de sites archéologiques et les CC n'apparaissent jamais sur les plus anciennes photos aériennes, ce qui tendrait à prouver l’origine récente du phénomène. Partant du principe que les vents tourbillonnant à la base des vortex atmosphériques créent fréquemment des effets de spirale à la surface de l'eau et des déserts, Meaden élabore une nouvelle théorie. La réunion de certaines conditions climatiques et topographiques produirait un vortex de plasma froid de basse densité qui, en descendant de l'atmosphère, émettrait un champ électromagnétique de haute intensité. De tels champs sont connus pour affecter les radios, les moteurs, les caméras, le comportement animal et humain, etc. D'autre part, l'air ionisé produit occasionnellement d'étranges éclairs et des effets acoustiques. Poussée vers le sol, la colonne tourbillonnante d'air se déploierait à partir du centre et aplatirait les céréales de façon circulaire. Cette théorie de «vortex plasmatique» justifiait certaines observations (herbe qui ondule et soudain se déploie comme un éventail ; céréales, comme agitées par une vague, qui se couchent et décrivent un cercle en moins de 30 secondes; effet produit sur les humains et les animaux) et expliquait la formation des CC par des propriétés physiques et des processus dynamiques de l'atmosphère. Aussi rencontra-t-elle d'abord un certain succès, même auprès d'ufologues comme Jenny Randles ou Paul Fuller. Mais des questions essentielles demeuraient. S'il s'agissait d'un phénomène météorologique naturel, pourquoi serait-il seulement remarqué à la fin du XXème siècle et pas par les Grecs ou les fermiers du Moyen Âge? Pourquoi se produirait-il en cachette, en l'absence de témoins? Pourquoi les CC, souvent de très grandes dimensions, sont-ils si judicieusement placés dans les champs de céréales, sans jamais déborder sur une route, ou un champ voisin planté de betteraves ? Comment une pression suffisamment forte pour aplatir des tiges de façon définitive ne les endommage-t-elle pas ?

Néanmoins, ardemment promue par Meaden et ses collègues de TORRO (Centre de recherches sur les tornades et les orages), par le météorologue David Reynolds et le physicien Derek Elson, la théorie du «vortex plasmatique ionisé» fit des adeptes jusqu'au Japon où le Pr Tokio Kikushi (Université Kyushu) produisit en laboratoire un plasma (chaud) aux propriétés analogues à celles supposées du vortex froid imaginé par le physicien britannique. Selon Kikushi, «l'effet de rebond» d'un vortex annulaire frappant le sol expliquerait la présence des petits cercles satellites ...

La suite des événements devait jeter aux oubliettes cette belle construction. Les CC ne tardèrent pas à montrer qu'ils possédaient plus d'un tour dans leurs entrelacs et qu'un vortex, plasmatique ou pas, ne saurait susciter des empreintes aussi extravagantes.

 

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Des formes de plus en plus complexes

Depuis près de 30 ans, cet énigmatique phénomène, loin de décliner, a pris une véritable ampleur (en 1980, on dénombre 30 cas; en 1985, plus de 100; en 1988, plus de 300; en 1990, plus de 1000). Au début, les formations se concentrent en majorité - 98 % des cas - sur les collines crayeuses du Wiltshire et du Hampshire, régions encore imprégnées des anciens cérémonials de l'âge du Bronze, comme Silbury Hill, la plus haute colline préhistorique artificielle d'Europe, ou les sites mégalithiques d'Avebury et de Stonehenge, sites qui connurent, dans les années 70, une recrudescence d'observations d'ovnis. Telle une épidémie, les CC se répandent ensuite dans tout le sud-ouest, le pays de Galles, puis le Norfolk et l'Écosse. Elles gagnent les USA, le Canada, le Mexique, le Brésil, l'Australie, l'Afrique du Sud et le Japon où, en octobre 1990, sont repérés plusieurs cercles dont certains entourés d'un anneau près du site archéologique de Yoshinogari, dans l'île de Kyushu. Elles atteignent, timidement, l'Europe. La Suisse revendique son premier CC à Klein-Gümmenen, dans le canton de Berne, en 1993; à la fin de janvier 1997, un grand cercle (8,50 m de diamètre) d'herbe brûlée et couchée en spirale, flanqué de trois groupes de trois petits cercles apparaît en plein centre de Munich, dans le parc Luitpold.

Le phénomène ne se contente pas de s'étendre, il évolue et, au fil des ans, atteint un niveau stupéfiant de complexité. Les cercles (quelquefois au nombre de plus de 100, côte à côte), sont alignés, éparpillés, disposés en crosse, reliés à d'autres par de belles droites, agrémentés de triangles, d'haltères, de clés, de pinces, de rectangles, enclos à l'intérieur d'une série d'anneaux concentriques. À partir des années 90, une débauche de formes géométriques de plus en plus sophistiquées semblant reproduire des images connues (toiles d'araignée, insectes), des symboles alchimiques, kabbalistiques, celtiques, astronomiques, voire même des « objets mathématiques» (fractales, Julia, figures de Mandelbrot, etc.), draine des foules dans les champs dont les propriétaires monnayent l'accès, se constituant un joli pécule.

Nombre pi

Représentation du nombre PI  (PI = 3.14159 26535 89793 23846 …)

Des mystificateurs à démasquer

Grâce aux interventions des céréalogues, le survol des régions concernées du sud de l'Angleterre est systématique depuis 1987; il favorise la découverte de splendides formations dont seule une vue aérienne permet de saisir l'ensemble tant les dimensions sont impressionnantes (les crop circles géants de la région d'Alton Bames mesurent entre 120 et 400 mètres de long, par exemple) et les éléments constitutifs nombreux, comme pour le « triple Julia», apparu dans le Wiltshire en 1996, qui mesure 300 mètres et est composé de 194 cercles disposés sur une spirale à trois bras.

Aussi ne parle-t-on plus seulement de crop circles, mais d'agroglyphes et, surtout, de pictogrammes. Chaque été amène son contingent d'émerveillements et d'interrogations.

En septembre 1986, on a même découvert dans le Punch Bowl à Cheesefoot Head, cette phrase écrite en lettres capitales, sans séparation entre les mots : WEARENOTALONE (NOUSNESOMMESPASSEULS). L'inscription mesure 61 mètres de long. Une frénésie mystique saisit une bonne partie des amateurs de CC pour qui les aliens ont enfin trouvé le moyen de se manifester officiellement. N'y aurait-il pas du plaisantin là-dessous ?

Malgré les importants moyens mis en œuvre pour confondre les imposteurs, le mystère n'est résolu qu'en partie. Oui, certains crop circles sont réalisés par des êtres humains, mais les autres ?

Depuis plusieurs années, l'idée d'une mystification commençait à poindre. L'évolution trop artistique des CC renforce la position des chercheurs penchant pour une origine humaine du phénomène. Le 16 juin 1990, divers ufologues français font réaliser en une heure un quintuplet de 70 mètres d'envergure. La performance, effectuée devant huissier, ne laissa pas de traces parasites (les faussaires s'introduisaient dans le champ via les anciennes ornières des tracteurs).

 

Crop circle

Les preuves de l'imposture

En juillet 1990, deux chaînes de télévision (BBC 1V et Nippon TV), utilisant un matériel high-tech censé détecter le moindre mouvement dans les champs pendant la nuit, sponsorisent l'opération « blackbird » organisée par deux chercheurs Pat Delgado et Colin Andrews. Pendant trois semaines, dans l'espoir de filmer la formation d'un cercle, les équipes s'installent sur place. Le 25 juillet 1990, la BBC annonce que celle de C. Andrews a filmé en direct la formation d'un groupe de cercles, d'anneaux concentriques et de lignes droites. Il faudra déchanter en examinant le CC en plein jour. C'est une imposture. Les tiges de blé, très abîmées, ne sont pas couchées au-dessus du sol avec la légèreté caractéristique du phénomène. Les imposteurs ont même laissé quelques objets à caractère ésotérique au milieu de leur œuvre. La paranoïa s'installe. On soupçonne l'armée d'avoir joué les faussaires en opérant de nuit, en utilisant des configurations de CC déjà connues et en laissant volontairement de faux indices permettant de désigner les adeptes du New Age comme coupables. Beaucoup considèrent toujours les militaires comme à l'origine d'une expérience de « debunking » (démystification) visant à discréditer l’ensemble d’un phénomène qui fascine les foules, perturbe les paysans et encourage les plus folles rumeurs.

En 1991, juste après un séminaire sur les CC, une véritable bombe met en émoi le petit monde des céréalogues. Selon un article fracassant paru le 9 septembre à la une de Today , tous les CC si doctement étudiés ne sont qu'un gigantesque canular réalisé par deux sexagénaires de Southamptom, Douglas Bower et David Chorley, qui, depuis 1978, les fabriquent de nuit, dans le plus grand secret et avec un matériel très rudimentaire.

Les compères disent en avoir créé entre 25 et 30 chaque saison ; ils revendiquent notamment la paternité de tous les pictogrammes apparus dans le Hampshire en 1990, le « Wearenotalone », l’insectogramme de 1991 et trois formations de fleurs à sic pétales qui leur auraient donné  « un travail fou » !

La révélation de l’imposture de Doug et Dave ne peut cependant tout expliquer. Les deux complices ont effectivement réussi à « berner » les experts, cependant il est difficile de leur attribuer les centaines de cercles apparus en quatre ans dans le Wiltshire, ceux du nord de l’Angleterre, de l’Australie, du Canada et de la Russie ou du Japon. Difficile d’admettre que les sexagénaires aient pu réaliser, à deux, des agroglyphes très complexes alors que la confection d’autres, beaucoup plus simples, requiert la collaboration de plusieurs jeunes (l’immense formation de Barbury Castle aurait, vu sa taille et sa complexité, nécessité toute un équipe travaillant pendant des heures). Comment n’ont-ils jamais été surpris alors que des centaines d’amateurs patrouillent toute la nuit dans l’espoir de surprendre l’instant magique, celui où l’empreinte se formera dans la végétation ?

Les modifications cellulaires des plantes et des graines, les changements affectant le sol sous les zones incriminées, les variations de niveau de radioactivité et autres altérations électromagnétiques, parfois révélés par des tests scientifiques (travaux du biophysicien américain W. Levengood, corroborant ceux du biologiste anglais Ken Larsen et de divers laboratoires du Tennessee) sont incompatibles avec une intervention de faussaires humains.

L'énorme publicité faite par la presse à Doug et Dave marque un tournant dans l'histoire des CC en suscitant une multitude de «pseudo-cercles». Étudiants, amateurs de risques (abîmer une récolte entraîne une condamnation), journalistes frustrés de ne pouvoir trouver d'explication, créateurs de landart (« art de terrain »), tout le monde s'y met, y compris les sectes, les occultistes, les allumés persuadés de pouvoir ainsi communiquer avec la nature, les groupes désirant «faire évoluer la conscience» de l'époque et même ... des membres du CCCS (Centre d'études des cercles céréaliers).

Aussi la presse britannique organise-t-elle le premier concours de création de CC entre le 11 et le 12 juillet 1992. Les participants, utilisant tout un arsenal de matériel (y compris un gros chien des Pyrénées censé tirer des planches et qui préféra s'endormir) doivent opérer de nuit, en silence, et sans laisser de traces parasites. Le 1" prix (35.971.500,00 Euro) est remporté par une équipe de Yeovil travaillant pour les hélicoptères Westland. Ce concours permet de déterminer les particularités différenciant les CC «authentiques», c'est-à-dire d'origine non identifiée (de plus en plus rares: il a fallu réviser bien des attributions) des «faux». Ces particularités sont : mouvement en spirale donné à partir des nœuds des tiges (dans les imitations, brisures et pliures apparaissent entre les nœuds) ; sol « dur comme du ciment séché » sous le cercle; apparition nocturne à proximité des caméras infrarouges qui ne décèlent aucune présence ; sons (non détectables à l'oreille) enregistrés par les magnétophones sur les lieux; altérations des plantes au niveau cellulaire ; perturbation du champ électromagnétique ...

L'incidence sur les humains est plus difficile à évaluer à cause de l'autosuggestion: les visiteurs «sensibles» éprouvent autant de phénomènes subjectifs (peur, malaise, exaltation, sentiment de plénitude cosmique) dans les CC présumés authentiques que dans les imitations revendiquées.

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Hypothèse extraterrestre

Aujourd'hui, les faussaires, dont certains opèrent la nuit avec la permission des propriétaires des champs, ravis de semer la confusion, sont devenus de plus en plus habiles. Paradoxalement, plus les preuves de supercherie s'accumulent, plus se renforce la croyance en une« Intelligence venue d'ailleurs». Les spéculations échevelées prospèrent. On fait appel aux techniques de remote viewers (vision à distance). Selon les sujets-psy de la société Psi-Tech (société fondée après sa retraite par le général Stubbelbine, ex-directeur des services de renseignements de l'armée américaine), les CC seraient fabriqués par petits véhicules extraterrestres extrêmement rapides.

Il faut préciser que les Américains établissent lien entre ovni et CC. Un des premiers CC rapportés aux USA (le 17 novembre 1989) est apparu dans la région de Gulf Breeze, tout près de l'endroit Ed Walters aurait été enlevé par un ovni le 11 novembre 1987. Diamètre de ce cercle: 2 m 33, une mensuration que le Dr Bruce Maccabee estime être « exactement» celle du diamètre de la base de l'engin photographié par Walters. Trop beau pour être honnête ?

En Russie: depuis 1990, des agrogrammes se forment chaque été aux environs de Krasnoyarsk (Sibérie). Ils seraient toujours liés à des manifestations d'ovnis. En Roumanie: le premier cercle où l'association avec un ovni semble évident a été découvert le 20 juin 1994 près d'Arad, ville proche de la frontière romano- hongroise: un rond central de 6 mètres de large à l'intérieur d'un anneau de 42 mètres de diamètre.  Nulle trace d'anomalies radioactives ou magnétique. Les spécialistes de l'armée se sont déplacés et des analyses ont été faites par le laboratoire du centre de médecine préventive. Les témoignages des villageois font état d'un «bruit terrifiant», d'étranges lumières au-dessus du champ, d'un «vaisseau» complètement rond planant 3 mètres au-dessus, avec dôme transparent à l'intérieur duquel se tenaient deux occupants avec des « barbes de pope» manipulant des appareils. Le bruit énorme dégagé par l'engin fit vibrer les lignes à haute tension et affola moutons et chiens. Les cercles se seraient formés tandis que l'ovni décollait.

En dépit d'un important matériel photographique, de films et de témoignages, la recherche sur les Crop circles n'a guère progressé depuis les années 80. Une position « mesurée » consisterait à ne retenir pour authentiques que les CC simples (relevant d'un phénomène météorologique dont il faudrait expliquer la soudaine manifestation) et à attribuer les autres à des «artistes» humains. Cependant le dossier n'est pas si simple. Quelques témoins ont vu, de façon indépendante, des cercles se former ; beaucoup sont passés dans un champ, ou l'ont survolé: il n'y avait rien. Un peu plus tard, quand ils repassaient au même endroit, les formations s'y trouvaient.

Les perturbations électromagnétiques sont trop nombreuses pour être négligées. En octobre 1991, la BBC se rend à Avebury pour étudier un nouveau cercle. Pendant les prises de vue, l'équipement est saturé par une «source d'énergie non identifiée» si bruyante que l'ingénieur du son doit arracher ses écouteurs. Cette puissante interférence radio ne se produit qu'à l'intérieur du cercle. L'enregistrement de ce mystérieux phénomène fut diffusé par l'émission Daytime live.

La Science exige des évidences matérielles et des manifestations répétitives : ces deux conditions sont réunies avec les CC. Cependant, les travaux visant à comprendre leur origine sont insuffisants en dépit de début de pistes prometteuses. Il n'y a pas encore de tests sérieux pour déterminer ce qui pourrait, ou ne pourrait pas, être attribué à l'homme. Qu'attend-on?

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REF : « Dossiers ovni » 1998

ASTRAL 2000- Gérard – Juillet 2016

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